Grand prix des Nations, extrait du livre
Ici, nous sommes sur le Grand Prix des Nations en 1984 toujours : après avoir fini second du Tour de France, je vais gagner en battant notamment Laurent Fignon, qui sera nettement distancé : 4e à 2’04’’. Sur cette image, on voit bien la silhouette du coureur en plein effort, qui est ici en danseuse.
À quoi pense-t-on, qu’est-ce qui motive le coureur pendant ce long effort ? La gagne, tout simplement ! On voit ici un coureur qui veut arriver au bout, qui a énormément reconnu, observé, mémorisé le parcours — et je le connaissais bien : je l’avais fait 30 ou 40 fois…